Les images de la première maquette d'overground.
Les utopies ne sont pas mortes.
Les hippies ne sont pas tous devenus banquiers, les punks n’ont pas tous été emportés par la came, et les anars travaillent toujours d’arrache-pied. Sans compter tous les sons qui fleurissent malgré les saisies, ou la bourlingue éternelle plus que jamais à portée de semelle... Le Système a vraiment du souci à se faire.
Des photos de la route, de la rue, de la marge et de ses gens... Des photos qui dansent avec une histoire, celle d’équilibristes de la vie qui découvrent peu à peu les joies des chemins de traverse, de manifs en free party, de squats en communautés, et qui tentent tant bien que mal de se trouver eux-mêmes.
La jeune génération de l’underground fascine souvent, inquiète parfois, intrigue toujours. Enfants de la crise, ils ont du réinventer leurs rêves et la manière de les vivre : Overground nous donne les clefs pour comprendre leurs mondes qui souvent se donnent à voir mais qui sont rarement compris